Le ministre ivoirien des Transports, Amadou Koné a convié à un déjeuner le mercredi 1er janvier 2020 à sa résidence à Bouaké, le corps préfectoral, les directeurs et chefs de services, les Imams, les chefs de communauté et les associations des femmes de Bouaké.
« C’est un repas que nous organisons chaque 1er janvier de l’année pour nous rappeler les repas communautaires comme décrits dans tous les livres saints et dans toutes les communautés du monde le temps des fêtes » a dit Amadou Koné à ses invités. Mais au-delà de ce partage, l’homme politique entend réitérer ses engagements pour la cohésion et l’union des cadres de la région du Gbêkê.
« Vous pouvez compter sur moi pour voir vos fils et cadres unis comme aujourd’hui, car quand nous sommes ensemble, c’est Bouaké qui gagne et qui se développe (…) Dieu fasse que tous ceux qui ont des projets lugubres pour Bouaké et pour la Côte d’Ivoire soient démasqués. Chaque citoyen doit faire confiance à la justice, car c’est elle qui sépare les palabres et règle les problèmes. Faites confiance au président Alassane Ouattara et au Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, car ils ont encore et encore des bonnes nouvelles pour Bouaké en 2020 » a-t-il fait savoir.
Au nom des invités composés du corps préfectoral, les directeurs et chefs de services, les Imams, les chefs de communauté et les associations des femmes de Bouaké, monsieur Ben Diomandé a dit toute sa reconnaissance au ministre Amadou Koné et au Premier ministre, Gon Coulibaly.
« M. le ministre, dites au premier ministre que nous sommes reconnaissants pour tout ce qu’il a fait et continue de faire à travers vous, pour Bouaké et le Gbêkê. Toutefois, les populations de Bouaké sont impatientes de le voir physiquement à nouveau pour lui témoigner sa gratitude et lui dire combien de fois nous sommes fiers d’avoir notre fils que vous êtes à ses côtés » a-t-il lancé.
Concernant l’ensemble des évènements qui ont peu perturbé la quiétude des populations de Bouaké, il y a quelques années, Ben Diomandé a rassuré :
« Il n’y aura plus de désordre à Bouaké parce que tous nos fils et cadres sont désormais unis grâce à votre leadership. Car c’était eux le problème de Bouaké. Dieu merci la paix est revenue et nous ne voulons plus rien d’autre que le bonheur de nos enfants et nos braves populations ».
Philippe Kouhon, envoyé spécial à Bouaké