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AfrikiBlog – Investissements étrangers et Emergence au Sénégal

Yaya Kanté par Yaya Kanté
3 avril 2016
dans Opinion, Opinion

Pour assurer son émergence économique, le Sénégal compte sur ses ressources internes et sur l’apport des investisseurs étrangers. Ce pays ambitionne alors d’être plus attractif afin de mieux capter les flux d’investissements directs étrangers, ou IDE, en hausse de 36% en 2015 dans le monde pour un montant de 1700 milliards de dollars US.
C’est justement un des objectifs du Plan Sénégal Emergent, ou PSE, soutenu par les bailleurs de fonds internationaux, publics et privés. Depuis sa mise en œuvre en 2014, le PSE enregistre des progrès réels dans l’accueil des IDE. Avec un cadre institutionnel solide et de qualité, ces progrès peuvent être amplifiés pour faire du Sénégal un lieu privilégié de domiciliation des capitaux privés et créer des emplois massifs en faveur des jeunes.

Définition, composition et variables explicatives de l’IDE

Selon l’OCDE, « l’investissement direct est un type d’investissement transnational effectué par le résident d’une économie (l’investisseur direct) afin d’établir un intérêt durable dans une entreprise (l’entreprise d’investissement direct) qui est résidente d’une autre économie que celle de l’investisseur direct. L’existence d’un intérêt durable est établie dès lors que l’investisseur direct détient au moins 10 % des droits de vote de l’entreprise d’investissement direct ».

Composition de l’IDE : opérations en capital, bénéfices réinvestis, prêts, avances, dépôts, à court et long terme.

Variables explicatives des niveaux d’IDE dans un pays comme le Sénégal : la qualité et la solidité des institutions dans un cadre sécurisé favorable à un environnement des affaires attractif, l’application effective des règles appelée bonne gouvernance, la perception du risque, la distance institutionnelle, la productivité, la qualité et le coût du facteur travail, le revenu par tête, la qualité des infrastructures, le degré d’ouverture sur l’extérieur ou le poids de ses échanges extérieurs par rapport au PIB, les barrières tarifaires et taxes, le rendement moyen du capital investi souvent assimilé au taux d’intérêt nominal, le taux d’inflation, le niveau de développement financier, la stabilité de l’environnement politique (liberté politique et civile, étendue de la corruption, procédures claires de comptabilité publique et réputation des dirigeants en matière de respect des clauses contractuelles).

Etat des lieux

Rappelons que les flux d’IDE vers les pays en voie de développement ont considérablement augmenté durant ces trois dernières décennies, notamment pour des pays pauvres ayant difficilement accès aux marchés internationaux de capitaux. Mais l’Afrique n’a pas été le bénéficiaire de cette bonne nouvelle ; elle est plutôt marginalisée par rapport à l’acquisition de nouvelles technologies, la création d’emplois et par rapport à son potentiel de croissance.

C’est une explication du fait que l’IDE ne représente que 2,2% du PIB du Sénégal, chiffre inférieur à la moyenne de 2,6% du PIB de l’Afrique au sud du Sahara. Ce qui est modeste et incompatible avec les ambitions du PSE : faire du Sénégal l’habitat préféré de l’IDE en Afrique occidentale.

Aujourd’hui, le Sénégal occupe une place intermédiaire dans le classement des pays récipiendaires des flux d’IDE en Afrique. Il se situe derrière l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Angola, le Gabon, le Ghana, le Cameroun, le Kenya et la Côte d’Ivoire.

Origines et secteurs d’accueil : le stock d’IDE qu’abrite le Sénégal est essentiellement d’origine française : 727 millions d’euros en 2012 ; 40% du total ; près de 20 000 emplois crées par les entreprises françaises qui représentant environ 25% du PIB et des entrées fiscales du Sénégal.

Les liens historiques qui unissent le Sénégal et la France, les similitudes dans les environnements institutionnels de ces deux pays ont favorisé leurs relations commerciales et une forte représentativité des entreprises françaises au Sénégal dans tous les secteurs de l’économie. Exemples : les télécommunications avec la SONATEL, filiale d’Orange ; les BTP avec Eiffage ; les transports maritimes et la logistique avec Nécotrans, Bolloré ; la cimenterie avec VICAT ; le tourisme avec Accor, Club Méditerranée, Air France et Corsair ; les banques et assurances avec la SGBS, la BICIS, Axa Sénégal, Gras Savoye ; la distribution avec Total pour les carburants ; la mine de zircon avec Eramet.

Notons que les firmes multinationales supportent un coût important pour s’adapter aux nouvelles institutions des pays d’accueil des IDE et ce coût est moindre lorsque l’environnement institutionnel est semblable à celui du pays d’origine (cas du Sénégal et de la France).

Par conséquent, l’augmentation de la distance institutionnelle augmente les coûts d’implémentation et réduit à la fois le nombre de firmes multinationales et le montant investi par ces firmes.

Contrairement à certaines accusations politiciennes, il n’y a donc pas de faveurs accordées par le Sénégal aux entreprises françaises de plus en plus attirées par le Sénégal depuis la seconde alternance politique en mars 2012 et le lancement du PSE.

Exemples d’autres implantations étrangères : l’Italie ; les Etats Unis d’Amérique avec Mobil, Colgate-Palmolive, Parke-Davis, Citibank, Coca-Cola, GTI. La Suisse avec la Société Générale de Surveillance et le groupe Nestlé. L’Inde est présente dans le secteur de la chimie avec les Industries Chimiques du Sénégal, dans l’industrie automobile avec Senbus Industries. La Chine, le Maroc, la Turquie, la Malaisie, sont devenus des partenaires engagés du Sénégal.

Pilotage institutionnel : Conseil présidentiel de l’investissement, APIX, Ministère de l’économie, Ministère chargé de la promotion des investissements et des partenariats.

Principaux secteurs : le secteur secondaire avec l’agroalimentaire et la transformation des produits de la pêche, les produits pharmaceutiques, le raffinage pétrolier, la chimie, la production de ciment, le textile, l’emballage, la mécanique et la métallurgie.

Le secteur tertiaire avec les banques et les assurances, la distribution de l’eau, le transport, les télécommunications, l’hôtellerie/restauration, la distribution de biens d’équipement et de consommation, les services informatiques et les hautes technologies, l’audiovisuel et les services portuaires.

Effets : contribution à la croissance durable de l’économie et aux exportations, création d’emplois, transfert de technologies, source d’innovation et d’accumulation du capital, stimulation de l’investissement domestique, amélioration du capital humain, impact sur la productivité et la compétitivité, externalités positives sur les entreprises locales.

Atouts du Sénégal : volonté politique ferme de réaliser les réformes, stabilité politique, pays libre et démocratique, ouverture sur le monde, découverte récente de pétrole et de gaz en quantité abondante, ressources humaines de qualité, territorialisation des politiques publiques, position géographique, nombreuses et attractives opportunités d’affaires en particulier dans l’agriculture, l’agro-industrie, l’habitat, l’économie numérique, le tourisme, la finance, l’industrie.

Difficultés : cadre institutionnel insuffisamment favorable à l’émergence, coûts de transaction élevés, base de croissance peu diversifiée, faiblesse de la taille du marché, ressources naturelles peu abondantes, coût et disponibilité de l’énergie, faible développement financier, faible productivité de l’administration, revenu par tête modeste, corruption, risques sécuritaires liés au terrorisme, importance de l’économie informelle.

Evolution de l’IDE : période 1968-2013

Selon les données d’Africa Data Base, CD-Rom, 2005 de la Banque Mondiale, les investissements directs étrangers ont été relativement non négligeables de 1968 à 1972. Ensuite ils ont connu une évolution en dents de scie : -8,6 millions de dollars US en 1973 ; 103 millions de dollars US en 1984 ; -15,8 millions de dollars US en 1985. Dans la période 1986/1994, le flux moyen d’IDE devient négatif pour s’établir à -0,3 % du PIB avant de repartir à la hausse après la dévaluation avec une valeur moyenne de 1,3 % du PIB durant la période 1995/2001.

Depuis 1994, année de la dévaluation du franc CFA, l’économie sénégalaise ne connaît plus de valeur négative de son flux d’IDE. L’explication réside dans la vague de politiques de libéralisation de l’économie et de privatisation d’entreprises menées dans le cadre de l’ajustement structurel. Ainsi, les flux d’IDE, élevés en 1997 avec 115,3 millions de dollars US soit 2,6 % du PIB et en 1999 avec 142,5 millions de dollars US soit 3,0 % du PIB, proviennent essentiellement de la privatisation de la SONATEL et de la SENELEC.

D’après les données publiées par World Development Indicators, février 2016 du FMI, la période 2005-2008 a vu les IDE progresser pour atteindre en moyenne 315 millions de dollars US par an correspondant au taux moyen annuel de 2,8% du PIB. Une baisse est observée en 2009 suite à la crisse financière internationale de 2008-2009 puis en 2010 avec 266 millions de dollars US soit 2,1% du PIB. En 2012 l’IDE s’élève à 276 millions de dollars US et représente 2,0% seulement du PIB à cause notamment de l’attentisme des investisseurs suite à l’élection présidentielle. L’augmentation enregistrée en 2013 pour un montant de 311 millions de dollars US soit 2,1% du PIB, est l’amorce d’une tendance haussière, confirmée depuis le lancement du PSE en 2014.

PSE : Actions, objectifs et progression de l’IDE

L’attractivité du Sénégal s’appuie sur les réformes, projets structurants y compris ceux du PUDC et performances économiques, de nature à améliorer le niveau des variables explicatives de l’IDE déclinées plus haut.

– Réformes visant à améliorer l’environnement des affaires : automatisation des procédures administratives, dispositif juridique et fiscal incitatif et simplifié, compétitivité des facteurs de production en particulier l’énergie, promotion de l’investissement à fort impact sur les pôles de développement (Voir le magazine REUSSIR, N° 89, juin 2014, intitulé « Des Réformes pour l’Emergence »).

– Réformes constitutionnelles validées par le référendum du 20 mars 2016 et saluées par la communauté internationale en vue de consolider la stabilité politique et sociale du Sénégal par l’amélioration du fonctionnement des institutions, le renforcement de la démocratie, l’approfondissement de l’Etat de droit et la modernisation du régime politique.

– Infrastructures de qualité : Aéroport international Blaise Diagne, autoroutes, chemin de fer, train express régional, modernisation du port de Dakar, télécommunications, énergie, zone économique spéciale intégrée dédiée aux entreprises. Le Sénégal projette d’être un hub logistique et de services de niveau régional.

– Education, formation, santé : universités et écoles de formation d’ingénieurs, de techniciens de haut niveau dans tout le pays, structures de santé avec un plateau technique relevé.

– Performances économiques : croissance durable et en forte hausse avec 6,5% en 2015, maîtrise de l’inflation et du déficit public, viabilité de la dette extérieure, solidité du cadre macroéconomique.

– Progression de l’IDE en 2014 avec 342,6 millions de dollars US, record historique depuis 2009. Cette progression devrait être confirmée en 2015 (données non encore disponibles) et se poursuivre les années suivantes.

Autres résultats du PSE/Plus d’attractivité du Sénégal – Pour la deuxième année consécutive, le Sénégal fait partie des 10 pays africains les plus réformateurs dans le Doing Business 2016. Gain de 3 places en 2015 dans le classement Doing Business 2016 : 153ème place en 2015 et 156ème place en 2014 après actualisation.

Ces avancées traduisent les réformes réalisées, favorables à l’environnement des affaires. Exemples : suppression du capital minimum pour la création de SARL ; baisse de 10 à 5% du taux des droits d’enregistrement de transfert de propriété; mise en place du guichet unique de raccordement à l’électricité des PME au Centre des Grands Comptes de la SENELEC ; baisse de 50% de l’avance de consommation ; réduction du temps de délivrance des autorisations de traversée de chaussée ; adoption du décret sur la médiation et la conciliation pour la promotion des organes et instruments de jugements alternatifs dans l’exécution des contrats.

– Le magazine de référence Foreign Policy dans son analyse « Baseline Profitability Index » fait gagner au Sénégal 14 places en 2015 : 26ème rang en 2015 et 40ème rang en 2014 des destinations relatives aux IDE rentables. Le Sénégal fait mieux que la Côte d’Ivoire et l’Afrique du Sud : Côte d’Ivoire : 33ème rang en 2015 et 66ème rang en 2014. Afrique du Sud : 51ème rang en 2015 et 46ème rang en 2014.

– Progression de 7 places en 2105 dans le classement à l’Indice de Perception de la Corruption de Transparency International, principale organisation de la société civile de lutte contre la corruption : 61ème rang sur 168 pays en 2015 avec 44 points sur 100 et 69ème rang sur 168 pays en 2014 avec 43 points sur 100, des pays les moins corrompus au monde. Ce progrès est la conséquence de l’effet dissuasif généré par le travail de l’Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC), de la Cour des Comptes, la traque des biens mal acquis, la déclaration de patrimoine, le Code de Transparence dans la Gestion des Finances Publiques, l’adhésion à l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE).

– Gain d’une place en 2015 dans le classement à l’Indice de Compétitivité Globale de Word Economic Forum : 112ème rang sur 144 pays en 2015 et 113ème rang sur 148 pays en 2014.

– Risque pays stable à 6 selon les critères de l’OCDE : valeur anormalement élevée.

Préconisations

– Instaurer un cadre institutionnel davantage amélioré et sécurisé pour mieux gagner la confiance des investisseurs par la réduction des coûts de transaction, la garantie des droits de propriété, la production de mécanismes d’incitation, le respect strict des règles, la libéralisation accrue du marché, le démantèlement des rentes politiques. Soulignons que les facteurs institutionnels, les règles, sont prioritaires et déterminent fondamentalement les performances d’une économie et par conséquent la réussite escomptée du PSE. Même si les financements obtenus et attendus du Groupe Consultatif de Paris en 2014 sont essentiels pour l’émergence du Sénégal.

– Nommer un Ambassadeur délégué aux investissements étrangers.

– Redéfinir la communication financière pour réduire sensiblement les primes de risque anormalement élevées à cause de l’inadaptation de la perception du risque aux réalités observées concrètement au Sénégal. C’est d’ailleurs une problématique africaine. La localisation géographique apparaît comme un facteur discriminant et donc un pays situé en Afrique est plus à même de subir des effets négatifs en termes d’investissement direct. Deux explications peuvent être avancées : tout investissement en Afrique est toujours perçu comme risqué ; également une trop grande méconnaissance de l’Afrique serait à l’origine des effets pervers de distanciation des investisseurs par rapport à l’Afrique. Il revient ainsi aux dirigeants africains de donner une meilleure image de ce continent spécifique sur les plans économique, culturel, historique, humain et social. L’appui des organismes multilatéraux est alors fondamental.

– Mettre l’accent sur les conditions d’exercice des droits lors des privatisations. Lorsque les privatisations sont abordées, seule la dimension de transferts effectifs de droits est jusqu’ici posée.

– Renforcer les représentations diplomatiques du Sénégal par des professionnels comme l’a recommandé Son Excellence Monsieur le Président de la République à la conférence des ambassadeurs et consuls généraux tenue en décembre 2015 à Dakar.

– Promouvoir des agences de publicité, des centres d’affaires dans les pays développés pour attirer les investisseurs potentiels.

– Encourager les initiatives privées/citoyennes pour attirer les IDE.

– Former davantage des ingénieurs et des techniciens dans les domaines tels que les produits agroalimentaires, les équipements mécaniques, le matériel électrique et électronique, les produits chimiques.

– Accélérer l’intégration économique sous-régionale (UEMOA), régionale (CEDEAO) et africaine (NEPAD) en vue d’élargir la taille du marché pour les biens et services produits au Sénégal.

– Soutenir la recherche-développement pour faire du Sénégal un pays leader dans l’innovation en Afrique.

– Lutter davantage contre la fuite des capitaux car l’endettement par financement public international contribue souvent plus à la fuite de capitaux qu’à des investissements productifs.

– Accroître la contribution du secteur financier à l’investissement et à la croissance à long terme en relevant le taux de pénétration bancaire.

– Développer l’épargne nationale et l’investissement privé domestique afin d’éviter leur inhibition éventuelle par l’investissement étranger et une trop grande dépendance du pays vis-à-vis de l’extérieur. Amener la SONATEL à réinvestir ses énormes bénéfices annuels.

– Améliorer les capacités de la justice dans le domaine financier, contractuel.

– Accélérer le rythme d’exécution des mesures destinées à booster l’attractivité du Sénégal. Malgré leur évolution positive, les flux d’IDE entrant au Sénégal restent faibles : 2,2 % du PIB en 2014 loin des 7,1% du PIB de son voisin le Cap Vert et inférieur à la moyenne de 2,6% du PIB des pays africains au sud du Sahara. Ces flux sont également volatils au regard des possibilités de captation du pays : l’IDE n’est pas encore une source importante de financement de la formation de capital fixe au Sénégal.

Dr Omar NDIAYE
Économiste
Convergence des Cadres Républicains / CCR-France
Coordonnateur Adjoint de la section APR de Tours
omarndiaye441@gmail.com

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