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    L’hôpital mère-enfant de Bingerville inauguré : les sages femmes qui maltraitent indésirables

    L’hôpital mère-enfant de Bingerville inauguré : les sages femmes qui maltraitent indésirables
    Publié le
    Par
    Ouattara Roxane
    Lecture 2 minutes
    Salon des banques de l'UEMOA et des PME

    Des habitants de Bingerville s’expriment après l’inauguration de l’hôpital mère-enfant de cette ville proche de la capitale économique ivoirienne, le vendredi 16 mars 2018.

    Kouadio Charlotte : « Désormais, nous n’irons plus ailleurs pour accoucher »

    « Les populations de Bingerville particulièrement les femmes sont heureuses d’accueillir dans leur ville, l’hôpital mère-Enfant. Grâce aux équipements de dernière génération, nous n’allons plus parcourir de longues distances pour des urgences. Il y’a un hôpital qui répond à toutes les qualités des autres centres de santé chez nous aussi ».

    Eliane Gnahé : « La page de nos sœurs qui mourraient en couche est désormais derrière tournée»

    « Aujourd’hui, c’est un grand jour pour les femmes de Bingerville. Grand merci à la Première Dame pour ses actions envers les populations de Bingerville. C’est la fin du calvaire de nos mamans, nos sœurs qui mourraient en couche. Cette page est désormais derrière tournée ».

    Kady Yao : « Bingerville garde son image de ville symbole »

    « L’hôpital Mère-Enfant vient s’ajouter aux infrastructures de la ville de Bingerville. Hôpital psychiatrique, École Militaire Préparatoire Technique (EMPT) de Bingerville, orphelinat de Bingerville. Toutes ces infrastructures ont donné une fière allure à notre ville pendant un certain temps. Avec cet hôpital, Bingerville garde son image de ville symbole ».

    Djamanan Huguette : « Nous ne voulons pas de sages-femmes qui nous maltraitent »

    « L’hôpital Mère-Enfant est arrivé avec le développement.il a donné un nouveau visage à notre commune. Maintenant, je souhaite qu’à l’image de cet hôpital, le personnel soit accueillant. Nous ne voulons pas de sages-femmes qui nous maltraitent ».

    Propos recueillis par Roxane Ouattara

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