Afrikipresse
    Culture

    Humour : Stéphanie Bluetooth parle de ses débuts et de ses projets

    Humour : Stéphanie Bluetooth parle de ses débuts et de ses projets
    Publié le
    Par
    La Rédaction
    Lecture 2 minutes
    Salon des banques de l'UEMOA et des PME

    La lauréate du Prix RFI “Talents du rire” 2023, la Congolaise Stephanie Bluetooth  évoque ses débuts et son actualité dans cette interview  accordée à Afrikipresse.

    Stéphanie Bluetooth, révélation 2021 aux «Awards du Rire de Niamey» au Niger ;  la Congolaise  devient 2 ans plus tard la Lauréate du Prix RFI “Talents du rire”.

    Bonjour. Qui est Stéphanie Bluetooth ?

    Je suis Stéphanie bluetooth. À l’état civil, Poumou Stéphanie Divine. Je suis humoriste comédienne , précisément du stand UP de nationalité congolaise.

    Comment êtes-vous venue à la comédie ?

    J’ai toujours été au devant de la scène, depuis l’âge de 3ans, je récitais des poèmes chaque fois qu’il y avait des manifestations à  l’école. Ensuite au primaire et au collège je faisais le théâtre, le slam et le cinéma ce qui m’avait rendue célèbre à l’école. C’est à la fin de 2017 que ma famille et mes amis qui me trouvaient très drôle m’ont proposé de participer à un concours (Comedy battle révélation). Dès la première participation, je gagne : c’est là que j’ai décidé de commencer une carrière professionnelle en humour.

    Quels sont les sujets que vous abordez dans vos sketchs ?

    Dans mes sketchs j’aborde beaucoup de sujets aussi sensibles qu’engagés, comme la grossophobie, le machisme, les complexes, le sexisme avec de l’autodérision et d’ironie, je parle des problèmes du quotidien.

    Pourquoi avez-vous candidaté au concours de Prix  RFI “Talents du rire” 2023 ? 

    J’ai candidaté au prix RFI “Talents du rire” parce que c’est quelque chose de grand, c’est un prix qui permet de vraiment internationaliser sa carrière, d’avoir plus de visibilité et d’avoir un soutien pour exercer son œuvre d’une façon plus professionnelle.

    Ça fait quoi d’être vainqueur de Prix RFI “Talents du rire” ?

    Être lauréate du prix RFI “Talents du rire” c’est un honneur. C’est la démonstration qu’on est sur la bonne voie, et que son travail est bien fait, c’est aussi une motivation pour un travail plus professionnel. C’est un grand palier de franchi.

    Le Prix RFI “Talents du rire” obtenu, c’est quoi la suite de la  carrière ?

    Après le prix RFI “Talents du rire” le travail poursuit son chemin mais de manière plus professionnelle, les spectacles s’enchainent et des nouveaux projets sont mis en place pour le plus grand bonheur du public. Merci à vous et à vos lecteurs.

    Alain Martial 

    Réagir à l'article
    Recrutement ARSTM

    Publiés récemment

    Intelligence artificielle et de la gouvernance des données : la Côte d’Ivoire se dote de stratégies nationales

    Intelligence artificielle et de la gouvernance des données : la Côte d’Ivoire se dote de stratégies nationales


    LU POUR VOUS by CoolBee Ouattara “Naïma” Nania Koulibaly ou quand tradition et modernité s’opposent dans une société en pleine mutation

    LU POUR VOUS by CoolBee Ouattara “Naïma” Nania Koulibaly ou quand tradition et modernité s’opposent dans une société en pleine mutation


    Budget 2025 du ministère des Transports : transparence et performance au cœur des priorités

    Budget 2025 du ministère des Transports : transparence et performance au cœur des priorités


    Côte d’Ivoire – Ramadan 2025 : Dominique Ouattara, un modèle de générosité au service des communautés musulmanes

    Côte d’Ivoire – Ramadan 2025 : Dominique Ouattara, un modèle de générosité au service des communautés musulmanes


    Élections à la CAF : Idriss Diallo, Augustin Senghor… recalés Fouzi Lekjaa, Hani Abou Rida…sans surprise

    Élections à la CAF : Idriss Diallo, Augustin Senghor… recalés Fouzi Lekjaa, Hani Abou Rida…sans surprise


    Mariatou Koné : un engagement sans faille pour l’éducation et la recherche en Côte d’Ivoire

    Mariatou Koné : un engagement sans faille pour l’éducation et la recherche en Côte d’Ivoire



    À lire aussi