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    Miss Côte d’Ivoire : Comment Tiburce Koffi maintient ses critiques après la victoire de Marlène Kouassi

    Miss Côte d’Ivoire : Comment Tiburce Koffi maintient ses critiques après la victoire de Marlène Kouassi
    Publié le
    Par
    Dasse Claude
    Lecture 2 minutes

    Après la finale de Miss Côte d’Ivoire 2022, marquée par la victoire de la Miss Marlène Kouassi qui succède à Olivia Yacé, Tiburce Koffi garde la même posture, au sujet de ce concours de beauté. Il appelle même la malédiction contre ceux qui ont contribué au succès de la cérémonie, qualifiée de crime moral par lui.

    La finale de l’édition 2022 de Miss Côte d’Ivoire a eu lieu le 2 juillet 2022 à Abidjan. Elle a été marquée par la victoire de Marlène Kouassi. Pour l’écrivain Tiburce Koffi, qui laisse entendre n’avoir pas suivi l’évènement diffusé en direct sur la première chaîne de la télévision publique ivoirienne, il s’agit d’une cérémonie de dépravation, de dévergondage, de crime moral.

    Malédictions et malheurs sur les acteurs de Miss Côte d’Ivoire qui ont contribué au crime moral

    En effet, Tiburce Jules Koffi avait déjà affiché son hostilité vis-à-vis de ce concours de beauté. C’est dans ce cadre qu’il a été contacté à nouveau quelques heures après le sacre de Marlène-Kani Kouassi, pour savoir s’il s’était apaisé entre temps, et pour donner son avis sur la nouvelle reine de beauté ivoirienne. En retour, l’homme de lettres et de culture a répondu ceci, sans jamais citer le nom Miss Côte d’Ivoire : ” Vous venez de m’apprendre qu’il y a eu une nouvelle cérémonie de dépravation et dévergondage de nos filles. Que malédictions et malheurs ruinent tous les acteurs qui ont contribué à ce crime moral”.

    Sa première réaction dans la foulée du salon du livre à Abidjan avait suscité des avis divergents en faveur du concours de beauté. Le Comité Miss Côte d’Ivoire s’était alors refusé à toute polémique, en évitant de répondre de façon formelle et directe à Tiburce Koffi qui ne lâche pas l’affaire.

    La position de l’écrivain rejoint celle de certaines familles qui rejettent le concours pour des raisons éthiques et religieuses. Ces familles interdisent le concours à leurs filles.

    Claude Dassé

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