Offrir un cadre d’accueil et de soutien aux femmes en détresse de Duékoué est l’une des priorités de l’Ong Bloom. Chose promise, chose due. La cérémonie de remise de clé de la première phase s’est tenue le mardi 17 septembre 2024, au quartier Diaye-Bernard de la ville de l’Ouest de la Côte d’Ivoire.
Représentant la présidente de l’organisation, George Lidégoué a exprimé sa gratitude au Patron de Challenge immobilier international (Chim-Inter), pour la qualité des travaux de construction.
« Nous constatons que les travaux ont été faits avec le cœur. Je suis vraiment satisfait. Le projet est en train de devenir une réalité. Au nom de la Pca de notre structure, je veux remercier Yamoussa Coulibaly, le PDG de la société », a-t-il insisté.
À l’en croire, la mise en place du village Bloom dans la ville de Duékoué participe à l’amélioration des conditions de vie de certains habitants de la localité vu que, la crise en Côte d’Ivoire a eu beaucoup de répercussion dans cette zone.
« Le village Bloom va beaucoup aider les populations en détresse. Nous invitons les âmes généreuses au dîner gala de charité initié par notre association prévu pour le 07 décembre 2024, afin de collecter des fonds pour finaliser cette initiative », a exhorté George Lidégoué..
Chim-Inter aux côtés de l’Ong
Selon Noëlle Aké, la responsable dudit projet chez l’agence immobilière, Chim-Inter est une entreprise citoyenne qui évolue dans l’aménagement foncier et la promotion immobilière. De cette manière, Yamoussa Coulibaly, philanthrope, s’est engagé à soutenir la dernière action humanitaire de l’organisation Bloom.
« Plusieurs ouvrages ont été réalisés dans le cadre de la première phase. A savoir : l’ouverture de voie, la construction d’une clôture de 3 mètres de haut et d’une longueur totale de 309 mètres pour sécuriser le site de 0,5 hectare. Cette clôture est dotée d’une guérite avec des toilettes et a 12 entrées pour que la circulation soit aisée dans le village », a-t-elle énuméré.
Notons que le village Bloom aura la capacité d’accueillir 100 pensionnaires, des femmes victimes de violences basées sur le genre et celles qui n’ont pas les moyens de se nourrir.
Jessica MEDEBODJI