Des travaux de mise aux normes de la pelouse du stade Olympique Alassane Ouattara d’Ébimpé ont débuté lundi 11 octobre 2021. L’Office National des Sports (ONS) et l’entreprise française en charge des travaux, SPAFEL s’activent pour livrer ce joyau en février 2022.
L’Office National des Sports s’active à rendre opérationnel le stade Olympique Alassane Ouattara d’Ébimpé pendant longtemps au cœur des débats en raison de la mauvaise qualité de sa pelouse. Et surtout après l’épisode de la non homologation du stade de Yamoussoukro pour les matches éliminatoires du Mondial 2022.
Ainsi, Les travaux de la pelouse de ce stade qui ont commencé lundi 11 octobre verront les premiers résultats visibles en décembre 2021. Toutefois, la pelouse sera véritablement opérationnelle dans les mois de janvier et février 2022. L’entreprise française, SPAFEL en charge des travaux, est une référence mondiale en la matière.
Elle a à son actif plusieurs réalisations dont le stade Malherbe de Caen, le stade Bollaert de Lens, le centre de Clairefontaine en France…. La pelouse du stade d’Ébimpé sera une combinaison de deux types de Gazons que sont Cynodon type Dactylon et Ray Grass type Américain Bryghstar, selon les spécialistes qui la qualifient de merveille.
Bientôt le bout du tunnel
Les travaux vont durer trois à cinq mois environ et prendront en compte plusieurs paramètres à savoir l’installation de la pelouse hybride et la formation du matériel d’entretien de dernière génération. Pendant ce temps, les travaux se poursuivent également sur tous les autres stades retenus pour la CAN 2023 afin d’être livrés dans les délais.
Le ministère de la Promotion des Sports et du Développement de l’Économie Sportive à travers l’ONS travaille d’arrache-pied pour offrir des stades de qualité et aux normes requises afin de permettre à la Côte d’Ivoire d’être prête et d’organiser la CAN 2023 sur ses nouveaux stades.
La qualité des travaux et leur livraison dans les délais montrent bien que la question des nouvelles infrastructures (pelouses, stades, terrains d’entraînement), demeure au centre des préoccupations de l’Office National des Sports, nous confient nos sources.
Adou Mel