QUAND la POLITIQUE de CERTAINES TÊTES BRÛLÉES DÉBOUCHE sur MISÈRE et COUP d’ ÉTAT MILITAIRE, À QUI la FAUTE?
À la MAUVAISE GOUVERNANCE BIEN SÛR!
Il se trouve qu’ALHA CONDÉ, durant 11 ans, a été un Président « tête brûlée » et sans vision politique.
Dans le bras de fer qui oppose les dirigeants de la CEDEAO à l’équipe du Colonel MAMADY DOUMBOUYA, tentons de faire triompher vérité et justice.
Le français Bernard KOUCHNER et le franco-libanais-sénégalais Albert BOURGI pensent-ils vraiment que leur copain président, se disant professeur, était un homme politique recommandable?
Leur silence sur les crimes politico-mafieux d’Alpha CONDÉ n’est-il pas condamnable?
Par ailleurs, la CEDEAO, n’étant pas un chef d’oeuvre en péril, peut-elle freiner un peu sa stratégie de terreur exercée abusivement sur MAMADY DOUMBOUYA et son équipe?
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Tout en étant nullement pour les répétitions des Coups d’État militaires en Guinée comme au Mali, nous nous devons d’analyser les causes afin de trouver des solutions crédibles.
D’abord, la mauvaise gouvernance, la corruption et l’arrogance d’une classe politique se comportant en « colonialiste intérieur » avec le peuple sont des plaies qui gangrènent certains États africains.
Le Professeur Tarzan a été l’un des champions de l’inconscience politique soutenue affreusement par la montée des tensions ethniques qui auraient pu conduire le pays vers une guerre civile, du type Liberia ou Côte d’Ivoire, n’eût été l’intervention de la junte militaire.
A partir de tels faits, exiger des élections législatives et présidentielles en 6 mois, selon le programme de la CEDEAO, relève du mépris de la vérité et du bon sens.
Et cerise sur le gâteau de la mauvaise gouvernance, la CEDEAO veut libérer son protégé Président et dans l’impunité totale, l’envoyer à Brazzaville où les Droits de l’Homme sont scrupuleusement respectés!
Donnant ainsi au cow-boy -président-professeur des outils pour déstabiliser la Guinée, remettre le pays entre les mains des mercenaires, des cartels de la drogue pour mieux piétiner le vaillant peuple du 28 septembre 1958.
Le Bokassa guinéen ne sait toujours pas qui sont, nous autres guinéens quand la patrie est en danger. Nous sommes des lions de la savane, des éléphants de la forêt, des résistants du type NELSON MANDELA ou AMILCAR CABRAL.
Notre détermination à sauver la Guinée du désastre est un programme indestructible.
Le 18 septembre 2021
Pour l’U.I.J.A.,
Lanciné CAMARA.